
Pour laisser libre cours à sa créativité, l’esprit doit se défaire des automatismes de pensée qui le conduisent à tourner en rond dans ses schémas habituels. Il doit pouvoir rester dans un état de réceptivité, de lucidité, de flexibilité, de
Pour laisser libre cours à sa créativité, l’esprit doit se défaire des automatismes de pensée qui le conduisent à tourner en rond dans ses schémas habituels. Il doit pouvoir rester dans un état de réceptivité, de lucidité, de flexibilité, de
Même lorsqu’une souffrance nous tourmente au plus haut point, nous ne sommes pas cette souffrance. Lorsque nous souffrons d’une maladie, nous ne sommes pas cette maladie. Habituellement, nous nous identifions complètement à notre souffrance et ne faisons qu’un avec elle.
Dernièrement, dans un vol international alors que le repas venait d’être servi, mon voisin, un jeune américain du Midwest, me demanda avec une pointe d’étonnement :
— Etes-vous végétarien ?
— Oui.
— Pensez-vous que la viande est quelque chose
L’optimisme éclairé engendre une attitude ouverte, créatrice et libératrice qui permet d’embrasser spontanément l’univers et les êtres au lieu de se retrancher derrière le sentiment de l’importance de soi.
Il y a de nombreuses façons de faire l’expérience du monde.
En entendant une porte grincer, l’optimiste pense qu’elle s’ouvre et le pessimiste qu’elle se ferme.
Les psychologues ont longtemps cru que les personnes légèrement dépressives étaient les plus « réalistes ». Les optimistes en effet ont tendance à se rappeler
Cette image de sept moines tibétains et bhoutanais sautant devant l’océan, fut prise en 1997 par un clair matin d’hiver. C’était en France, à Dieppe, lors d’une tournée européenne des moines du monastère de Shechen qui présentaient leurs danses sacrées.
Kyabjé Trulshik Rinpotché appartenait principalement à la tradition Nyingma du bouddhisme tibétain, mais, tout comme Dilgo Khyentsé Rinpotché, il était un exemple parfait de maître non sectaire. Sur les images qui suivent, on le voit porter les coiffes des quatre
C’est une question fréquemment posée au Dalaï-lama qui y répond souvent avec humour : ‟Pauvre bouddhisme ! Voilà qu’il est rejeté par les religieux qui disent que c’est une philosophie athée, une science de l’esprit, et par les philosophes qui
« Simplifiez, simplifiez, simplifiez » Ces paroles rafraichissantes du moraliste américain Henry Thoreau nous rappellent qu’une grande partie de nos tourments provient des complications inutiles et perturbatrices que nous ne cessons de fabriquer. Ces constructions mentales se surimposent à la
Envisager le bonheur comme la matérialisation de tous nos désirs et passions et, surtout, le concevoir uniquement sur un mode égocentrique, c’est confondre l’aspiration légitime à la plénitude avec une utopie qui débouche inévitablement sur la frustration.
Même si l’on